PLI
2019
Habiter L’espace, ouverture sur une vision en trois dimensions.
« L’espace.Étant donné un mur, que se passe-t-il derrière ? » Jean Tardieu
Le monde est en perpétuel mouvement même dans les matières qui paraissent les plus inertes. Lieu commun, chaque maison est faite de murs. Anonymes, ordinaires, quotidiens, ils sont délaissés. La fragilisation de la surface nous fait redécouvrir et percevoir différemment leurs existences dans l’espace. Remuer nos sens, tromper l’œil et nos perceptions. Entre construction et déconstruction, visible et camouflée, la matière palpite. Les murs se déplient, se drapent et vibrent sous le mouvement que l’air produit par le passage de nos corps. Les murs, privés d’armatures, se laissent aller, s’assouplissent et s’expriment de manière inattendue.
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2019
Habiter L’espace, ouverture sur une vision en trois dimensions.
« L’espace.Étant donné un mur, que se passe-t-il derrière ? » Jean Tardieu
Le monde est en perpétuel mouvement même dans les matières qui paraissent les plus inertes. Lieu commun, chaque maison est faite de murs. Anonymes, ordinaires, quotidiens, ils sont délaissés. La fragilisation de la surface nous fait redécouvrir et percevoir différemment leurs existences dans l’espace. Remuer nos sens, tromper l’œil et nos perceptions. Entre construction et déconstruction, visible et camouflée, la matière palpite. Les murs se déplient, se drapent et vibrent sous le mouvement que l’air produit par le passage de nos corps. Les murs, privés d’armatures, se laissent aller, s’assouplissent et s’expriment de manière inattendue.
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2019
Habiter L’espace, ouverture sur une vision en trois dimensions.
« L’espace.Étant donné un mur, que se passe-t-il derrière ? » Jean Tardieu
Le monde est en perpétuel mouvement même dans les matières qui paraissent les plus inertes. Lieu commun, chaque maison est faite de murs. Anonymes, ordinaires, quotidiens, ils sont délaissés. La fragilisation de la surface nous fait redécouvrir et percevoir différemment leurs existences dans l’espace. Remuer nos sens, tromper l’œil et nos perceptions. Entre construction et déconstruction, visible et camouflée, la matière palpite. Les murs se déplient, se drapent et vibrent sous le mouvement que l’air produit par le passage de nos corps. Les murs, privés d’armatures, se laissent aller, s’assouplissent et s’expriment de manière inattendue.
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Habiter L’espace, ouverture sur une vision en trois dimensions.
« L’espace.Étant donné un mur, que se passe-t-il derrière ? » Jean Tardieu
Le monde est en perpétuel mouvement même dans les matières qui paraissent les plus inertes. Lieu commun, chaque maison est faite de murs. Anonymes, ordinaires, quotidiens, ils sont délaissés. La fragilisation de la surface nous fait redécouvrir et percevoir différemment leurs existences dans l’espace. Remuer nos sens, tromper l’œil et nos perceptions. Entre construction et déconstruction, visible et camouflée, la matière palpite. Les murs se déplient, se drapent et vibrent sous le mouvement que l’air produit par le passage de nos corps. Les murs, privés d’armatures, se laissent aller, s’assouplissent et s’expriment de manière inattendue.